Shallan Harrison. [ uc ]

Biographie

D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours fais partit du gang de mon père, et cela uniquement grâce à mon pouvoir de télépathe. Je l’ai découvert très tôt, et mon père aussi d’ailleurs, il faut dire qu’il s’est occupé seul de mon éducation et je n’avais - je ne pouvais avoir - aucun secret pour lui. Quand on est petit on ne trouve pas encore l’intérêt de mentir et quand quelque chose nous angoisse où porte à réflexion on questionne toujours un adulte, c’est-ce que j’ai fais vers mes deux ou trois ans quand j’ai comprit que les autres n’arrivait pas à lire dans les pensées de chacun et que les miennes leurs restaient inconnu. Je l’avais toujours supposé mais c’est quand j’ai parfaitement apprit à parler que j’en ai eu la certitude.
A l’époque je ne savais pas où cela allait me mener d’avouer cela à mon père. Jusqu’à lors j’avais eu très peu de contacts avec les gens de l’extérieurs. Mon père était déjà dans les affaires, et dans toute sortes coups foireux, fumeux, douteux, en somme toute assez dangereux. Et cela pas seulement pour lui mais aussi - car nous connaissons tous les machiavéliques desseins des gens en quêtes de vengeance qui tourne toujours autour de la famille de leur victime trop puissante à attaquer de front - pour sa famille et donc pour moi. Alors vous comprenez qu’il évitait de me balader n’importe où, ou encore de me confier à n’importe qui. Ce serait pour le moins stupide de sa part, et il est tout sauf stupide.
Mais cela allait changer car dès lord que mon père se rendit compte de l’étendu et de l’utilité de mes pouvoirs il m’utilisa au service de ses petites magouilles, ses vengeance personnelles, ses interrogatoires et autres.. Il faut dire que j’étais non seulement plus fiable - déjà à cette époque il était difficile de me cacher quelque chose, surtout pour quelqu‘un stressé et surprit -, mais aussi moins barbare que la torture - quoi que mon père y faisait quand même recourt de temps en temps alors qu’il n’en avait nullement besoin pour son propre plaisir sadique, ce que je ne comprendrait jamais-, mais surtout pour le moins originale.
Cela déroutait de voir un gosse de cinq ans en face de vous qui affiche un visage serein et qui on ne sait comment sait exactement quand vous mentez et quand ce n’est pas le cas.
Cette intégration dès mon plus jeune âge me permis de me faire apprécier par les membres des Spirites, c’était pas courant pour eux de voir un enfant, ça devait les apaiser et effacer un peu de leur noirceur, et puis j’étais le fils du chef alors mieux valait être gentil avec moi pour entrer dans les faveux de Harrison Senior. Moi je savais pas ça, mais la situation me convenait.

Néanmoins tout n’était pas rose. Certes j’étais utile, on m’aimait bien, je pouvais aussi vivre ma vie autant que possible en parallèle mais ces interrogatoires me marquèrent beaucoup plus que mon père ne se l’imagina jamais.
Je ne suis pas un simple détecteur de mensonges tout bête avec un lumière rouge qui s’allume dans mon esprit quand l’interrogé déforme la réalité. Non, c’est bien plus complexe que cela, je ressent des émotions et je vois parfois des images. Quand j’étais enfant elles étaient très flous mais cela suffit amplement à me faire assister mentalement à quelques dizaine de scènes de crimes, de torture, de bagarre à mains armé et d’autres choses toutes aussi violentes. Avec tout ça je ne suis pas resté un gosse innocent très longtemps. Mon esprit se ferma peu à peu et je pense que c’est de cette époque que date mon manque de confiance en moi, je n’étais pas assez fort pour affronter ça et les séquelles que ces interrogatoires firent sur mon cerveau transparaissent encore à mon âge.

Du reste l’éducation que me donna mon père fut rude, j n’avait pas beaucoup de liberté mais j’étais constamment mit à l’épreuve tant sur le plan physique qu’intellectuelle. Ce qui explique le corps sportif que je possède maintenant et mon esprit vif. Mon père ne me battait que très rarement, il avait d’autre moyen de pression. Il était une époque où il me menaçait sans mots, simplement avec des pensées, et c’était plus efficace que n’importe quel mot sur n‘importe quel ton aussi coléreux qu‘il soit. Je crois que c’est lui qui m’a pousser à perfectionner mon pouvoir pour me fermer à certains esprits dont le siens que je ne viole sinon jamais, très rarement. Je crois d’ailleurs que ça lui convient très bien ainsi.

Avec le temps mes libertés augmentèrent tout en étant toujours étroitement contrôler par les larbins de mon papounet. On pouvait encore m’attaquer ou me kidnapper pour les même raisons que si dessus. Je n’étais pas apte à me défendre et malgré mon savoir déjà poussé en matière de combat au corps à corps j’étais incapable de me défendre seul contre un adulte de trois tête de plus qui pense avec le mauvais organe et qui n’a jamais apprit à se battre qu’avec ses copains de beuveries.

Je grandis pourtant, gagnait en maturité, en force physique, j’affinais mon pouvoir qui devait chaque jour de plus subtil et pourtant je manquais toujours cruellement de confiance en moi. C’est mon plus grand défaut et il est sûrement à l’origine de mon côté rêveur.
Car oui je suis devenu un grand rêveur. Aussi étrange que cela puisse paraître à la différence de James qui changea radicalement à la mort de son père, tous les massacres auxquelles j’ai indirectement assistés étant jeune n’avaient pas orienté mon esprit vers les sinueux méandres de la mort, la souffrance, les ténèbres, l’insensibilité.. Au contraire, c’est comme si j’avais voulu m’arracher de ce bourbon qui ne demandait qu’a m’engloutir en me dirigeant vers la lumière et en devenant l’exacte opposé de James. C’est-ce qui me rendis doux et rêveur, plutôt optimiste mais plus dans les nuages que bon vivant. Pourtant il reste toujours une part de noirceur, et elle reste non négligeable mais je la dissimule incapable de la partager, et même peut être de me l’avouer. Toujours ce foutu manque de confiance.
Ma vie continua donc d’enfant à préadolescent puis à adolescent et enfin à adultes où les choses se corsèrent.

C’est donc quelques semaines après mon 18ème anniversaire que je passais aux choses sérieuse, du moins pour ce qui est des missions car j’étais devenu un membre a part entière des Spirits, et comme pendant mon enfance mon père aimait à me tester et me rendre toujours plus fort. Aussi les mission difficile affluèrent elles. Mais je ne pouvais m’engager seul dans aucune d’elle, je devais toujours avoir au minimum un associé que mon père me présentait toujours quelques jours avant d’aller sur le terrain.
Et il fût une de ces rencontres que je n’oublierais jamais.

Mon père et moi discutions en nous dirigeant vers le bureau ou nous attendait mon futur associer. Je ne savais de lui que son nom : J. Perry et qu’il était tueur a gage. Jusque là rien de vraiment surprenant, et la conversation que je tenais avec mon père n’avait rien d’intéressant.
Depuis que j’avais cinq ans je me croyait unique grâce à mon pouvoir. Je savais, certes, que d’autre personne ( mon géniteur le premier ) disposait d’autres facultés que moi mais j’étais absolument certains d’être le seul télépathe. Alors évidement j’avais complètement ouvert mon esprit, persuader que personne ne pourrait en violer l’intimité, cela m’aider à repérer les personnes hostiles et me permettait parfois de faire des découvertes intéressantes. Ce jour là ne différait pas j’étais à demi concentré sur ce qui se passait autour de moi sans élever aucune barrière mentales pour me protéger.
Soudain, sans que rien ne pu me le faire soupçonner un autre esprit se fraya un chemin dans le mien sans aucune défense, chargeait dans la complexité de mon esprit brisant tout sans se préoccuper de la douleur que cela me causait . Cela tant et si bien que je dû m’arrêter, poser mes deux mains sur mes tempes et essayer de repousser l’intrus qui me blessait.
L’inconnu avait lié un contact mentale avec moi et me retrouvant dans l’incapacité de repousser son attaque je cherchais à lire son esprit pour l’inciter à quitter le mien.
Ce fut mon premier contacte avec James Perry.

Si nous étions tout deux télépathes, nous utilisions nos pouvoir très différemment. La où moi je touchais les esprit délicatement, cherchant les failles toutefois sans parvenir à ouvrir certaines portes mais en faisant attention à la beauté de ce que j’étais capable de « voir », lui y allait franchement, brisant tout sur son passage, sans grand respect, mais lui parvenait toujours à son but, quelques soit les obstacles, comme un sanglier dans un forêt. Dans le même ordre d’idée j’étais plutôt un écureuil ou quelque chose d’approchant.
Quoi qu’il en soit l’un et l’autre après notre combat mentale nous commencèrent à discuter à l’aide de nos capacités mentales, et finalement une fois l’un en face de l’autre nous savions déjà tout ce qu’il fallait savoir sur l’autre.
Rapidement James devint mon confident, d’une part car je ne pouvais pas lui cacher grand-chose, mais aussi car il me comprenait et que je n’arrivais à m’ouvrir à personne d’autre.
Grâce à l’autre chacun de nous pu affiner ses pouvoirs. J’apprit à élever des barrières au cas où je rencontrais à nouveau un adversaire qui pourrait m’attaquer sur mon propre terrain. Je lui apprit à ne pas foncer tête baisser n’importe où.
Mais il resta toujours plus puissant que moi, et moi plus subtile et rusé que lui. C’était nos caractéristiques personnelles.

Mais j’ai oublié de raconter ma rencontre avec Kathryn Rice. Le meilleur pour la fin comme on dit. On était tout les deux ado, elle avait quatre ans de moins que moi et il faut avouer qu’elle me dit une très mauvaise première impression. C’était LA chieuse de service, toujours à énerver son monde. Je comprendrais d’ailleurs jamais comment son ancien tuteur à fait pour la supporter.
En tout cas moi au début je l’évitais, elle était trop nerveuse pour un mec calme comme moi. Le premier contact que j’ai eu avec elle fût aussi mentale. Mais elle contrôlait si peu ce pouvoir que pour moi c’était évident qu’il n’était pas inné. C’est donc d’abord poussé par la curiosité que j’allais lui parler.
Je ne me souviens plus de notre première conversation, seulement qu’elle m’avait laissé un arrière goût étrange.
Dès que je la quittais elle commença à hanter mes penser, j’avais envie de la revoir, de savoir ce qu’elle faisait, d’être là au cas ou ..
Et pourtant on ne pouvait pas dire qu’elle m’avait paru sympathique, aimable ou quoi que ce soit du genre. Je pense que n’importe qui à ma place n’aurait plus voulu entendre parler d’elle.
Alors que moi .. C’était tout le contraire.
Le lendemain je l’ai revue, elle était toujours aussi chiante, et cela me blessait sans pourtant que je le montre. Je fut tenté de sonder son esprit pour savoir pourquoi elle était comme ça avec moi mais jamais je ne pus me résoudre à faire cela. C’était comme la mettre à nue devant moi et je ne pouvais faire cela, j‘en était - et j’en suis toujours - incapable. Pourtant je pouvais discuter avec elle mentalement quand elle était en face de moi, aussi il m’arrivait de toucher son esprit et sans qu’elle le sache j’ai préserver une sorte de lien invisible qui fait que je peux savoir à n’importe quel moment comment elle va superficiellement sans jamais m’immiscer dans les tréfonds de son esprits. Aussi, si elle est en danger je le saurais presque immédiatement et savoir cela me rassure, et cela quelque soit la distance qui nous sépare.
Je précise d’ailleurs que c’est la seule personne avec qui je veux - et je peux - faire cela.

Depuis je suis fou amoureux de Kathryn - au cas où vous aviez pas remarqué --’ -, James est la personne en qui j’ai le plus confiance après mon père et pour des raisons que je ne raconterais pas ici je haïs purement et simplement Chris Larson.

Bienvenue jeune homme ^^

Bienvenu à toi^^

Si tu as besoin d'un taxi, appelle-moi XD

Bienvenue à toi ^^

Wah merci tout le monde =] !

Mais hum .. j'ai absolument pas finis ma fiche xD ( l'histoire non plus d'ailleurs uU' ) j'avais juste commencé .. donc je vais continuer, si ça interesse quelqu'un vous pourez toujours lire =] ( et commenter ! ) histoire que ça serve a quelque chose xD

Je t'appellerai Nikko, n'ai crainte

Bienvenue